Le secteur de l’événementiel est l’un des secteurs les plus touchés par cette crise sanitaire qui nous a mis à l’arrêt depuis le 16 mars. En effet, il représente près 335 000 emplois en France et le montant annuel des retombées économique du secteur s’élève à 32 milliards d’euros.
C’est pourquoi les acteurs cherchent à mettre en place des normes de sécurité et sanitaire dans le but de relancer l’activité pendant et après le confinement en préservant la santé et la sécurité de tous. Ces derniers innovent et trouvent des outils pour proposer des événements alternatifs. Des événements virtuels ont remplacé les événements prévus en « live » et d’autres sont reportés. Le mot clé de cette période pour ce secteur : la solidarité.
De plus, après cette période difficile, le secteur de l’événementiel et l'ensemble de sa chaîne de valeur deviendront des acteurs clés pour le retour des événements en direct, des rencontres et relations humaines et des liens sociaux.
Nous pouvons dire que l’événementiel a un triple enjeu pour la reprise des événements : protéger les équipes qui organisent les événements dont le but principal est de proposer des événements et rassemblements dans le respect le plus stricts des règles sanitaires. La période post-confinement est synonyme de vivre ensemble. Il est donc très important que les acteurs de ce secteur favorisent une réadaptation optimale dans un cadre et un climat serein, favorisant les rassemblements en toute sécurité. Enfin, les entreprises vont devoir faire face à un impact psychologique du au confinement. C’est pourquoi l’organisation d’événement sur mesure peut accroître le bien-être des personnes au travail, permettant ainsi à l'équipe d'encourager des objectifs communs.
À la sortie du confinement, le véritable enjeu sera donc humain et le secteur de l’événementiel sera l’un des acteurs principaux pour recréer du lien social.
L'école Ipac Bachelor Factory Angers propose un Bachelor Événementiel et Communciation dans le but de vous former et vous préparer à la reprise de l'activité.
